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A. Dangote raconte comment son ex petit-amie essaie de l’extorquer 5millions US

Le milliardaire Nigérian Aliko Dangote brise le silence et raconte la stratégie utilisé par son ancienne petite-amie américaine pour le faire chanter. Devant le tribunal américain, le milliardaire a expliqué comment la jeune fille a posté la photo de l’homme d’affaire à moitié nu sur les réseaux sociaux.

Aliko Dangote raconte comment son ex petite-amie Autumn Spikes a essayé de l’escroquer 5 millions de dollars.

« Premium Times » rapporte les informations qui font état d’une action en justice intentée par l’homme le plus riche d’Afrique Aliko Dangote sous le pseudonyme John Doe, contre son ancienne petite-amie américaine. C’est une dame identifiée comme étant Autumn Spikes

Tout a commencé le 1er janvier, lorsque la dame utilisant Instagram sous le pseudo Allarounda1, a publié un clip vidéo se montrant assise et M. Dangote allongé sur un canapé. Les images montraient la plus grande partie du corps de M. Dangote couvert d’une couverture orange, accroché à son Smartphone mais avec ses fesses exposées. Mme Spikes a également publié d’autres images du milliardaire qu’elle a ensuite supprimées.

Elle a déclaré plus tard dans ses mises à jour sur le réseau social qu’elle n’avait pas rendu ses affaires publiques sur les réseaux sociaux pour acquérir la renommée. Son objectif était d’aider M. Dangote à « effacer son nom de l’embarras causé par une autre ex-maîtresse de l’homme d’affaires, Bea Lewis, qui a exposé leurs affaires intimes sur les réseaux sociaux ». Par la suite, Aliko Dangote avait tenté de mettre fin rapidement à cette relation avec Mme Spikes.

L’affaire a aussitôt été portée au Tribunal du comté de Miami-Dade en Floride, aux États-Unis d’Amérique. Dans le document judiciaire en date du 22 janvier dernier et intitulé «Demande de plainte pour jugement déclaratoire Plainte pour (sur) demande d’extorsion pour injonction», le mania des affaires accuse dame Spikes de cyberharcèlement, de diffamation et de rupture d’accord.

En effet, en plus de mettre fin à sa relation avec Mme Spikes, il a demandé un accord de non-divulgation (NDA) «pour garder leur relation privée et hors des médias sociaux».

Mme Spikes a demandé 5 millions de dollars, par l’intermédiaire de son avocat, en échange de la NDA.

Devant le Tribunal, Aliko Dangote réclame pour cela un peu plus de 30 000 $ soit 15 millions de Fcfa en dommages-intérêts contre Mme Spikes.

Dans ses explications, Aliko Dangote déclare que Mme Spikes avait exigé «des réclamations sans fondement de 5 millions de dollars» sous la forme de «palimonie  à laquelle elle n’a pas légalement droit».

Une palimonie est une somme d’argent qu’un Tribunal ordonne à un tiers de payer à un(e) ancien(ne) partenaire avec lequel elle vivait n’étant pas mariée, à intervalle régulier.

Dans le cas d’espèce, la pièce 1 du document de plainte judiciaire de Dangote montre que «Autumn Spikes a demandé à la plaignante de lui verser cinq millions de dollars (5 000 000 $)».

Assion HOUESSOU

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