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Confidence, Pourquoi j’ai choisi Sarah et non Justine ?

Dans la rubrique confidence de ce vendredi, nous avons recueilli pour vous le témoignage d’un monsieur qui a trouvé sa rose au milieu des ronces. Malheureusement, les ronces ont fini par noyer la rose de jadis pour ne laisser que les épines. Lisez plutôt.

« La vie de couple est si délicate. Vous rencontrez une personne qui semble si bien pour vous, vous vous projetez, vous vous mariez et la suite, seul Dieu est fort. Mon histoire remonte à loin derrière. Mais elle s’est soldée par un divorce…

Justine et moi nous connaissions depuis les bancs d’école. C’était la fille d’un Directeur d’entreprise et cet homme me détestait justement parce que sa fille s’était amourachée de moi au lieu d’étudier. Elle était hyper intelligente et naïve, c’était une vraie perle et ce côté innocent d’elle nous a protégé et accompagné jusqu’à l’Université. 

Justine m’avait aimé sans condition car elle, venait d’une famille aisée et moi le contraire. Ses parents lui avaient fait toute sorte d’histoire à cause de notre relation. 

Son père l’avait même envoyée étudier au Sénégal juste pour l’éloigner de moi mais loin, elle fut encore plus proche. 

Nous avions continué à nous aimer sans bruit jusqu’à ce que je ne trouve un travail bien rémunéré et la fasse rentrer au pays pour demander sa main. 

Je n’oublierai jamais le visage de ses parents, surpris et lasses de lutter contre ce jeune qui tenait tant à leur voler leur fille. J’avais réussi et elle était devenue ma femme malgré eux. 

Après la dot, elle était repartie finir son Master et au retour, nous nous sommes légalement marié, c’est-à-dire un mariage civil à la mairie je précise. 

Justine était une femme pleine de ressources, aimante.  Nous avions connu nos hauts et bas mais elle n’avait jamais réagi sur un coup de tête. J’avais tellement peur de la perdre à chaque fois, mais elle était là. 

Lorsque nous avons commencé notre vie à deux, les premières années furent merveilleuses car ce fut comme le début d’une véritable relation sans besoin de se cacher ou se reprocher quoi que ce soit mais quelques années après, lorsque nos deux  enfants arrivèrent, la vie de couple n’eut plus rien d’excitant pour moi. 

Notre routine était à petit feu déstabilisante pour moi car je ne me voyais pas du tout aller au travail, rentrer chez moi me retrouver en famille, regarder la télévision, diner, passer du temps avec les enfants et aller au lit. La seule chose différente que nous faisions, c’était d’aller au culte les dimanches et d’amener les enfants au parc. Mais très vite je m’en lassai et les laissai y aller seuls. Je m’enfermais pour travailler car le travail m’épanouissait plus que ma vie de couple. Mais il y avait aussi d’autres raison. Ma femme prenait un vilain plaisir à m’humilier en public…

J’avais des amis qui vivaient à mille à l’heure avec leurs épouses mais la mienne avait un gros défaut, elle était très renfermée et presque associable. Elle ne sortait que pour aller visiter sa famille. Ma femme était très casanière.

 Lorsque j’invitais des collègues à la maison, cela l’ennuyait car elle les trouvait trop excessifs et pourtant ils étaient les seuls amis que j’avais. J’avais essayé de lui faire tisser des liens avec leurs femmes mais Justine ne trouvait qu’à critiquer sur ces femmes que je respectais pourtant beaucoup. 

Ma femme était devenue une personne très imbue d’elle, elle voyait les autres de haut et trouvait qu’elle était plus parfaite que le mot.

Mère au foyer, légalement mariée, elle critiquait toute jeune femme qui était en relation amoureuse avec un homme sans mariage. Je précise qu’avant notre mariage elle et moi n’avions jamais couché ensemble. 

Elle trouvait qu’elle était la meilleure femme au monde pour avoir gardé sa virginité jusqu’au mariage, qu’elle était l’épouse parfaite pour m’avoir donné deux enfants et pour n’avoir jamais avorté de sa vie et sur le plan des études et du travail pareil, parce qu’elle n’avait jamais redoublé de classe et qu’elle avait obtenu un diplôme supérieur très jeune, parce qu’elle occupait un poste de responsabilité et gagnait bien sa vie, elle était meilleure que tout le monde. 

Pour tout vous dire, ma femme manquait atrocement d’humilité et ce n’étais plus la jeune fille humble et naïve que j’avais connu, c’était une personne hautaine et désagréable. 

Justine me critiquait dans tout. Même sur le plan professionnel, elle se voyait plus intelligente et devait me dicter toute démarche à suivre. Je n’étais plus maître de moi car ma femme savait tout, elle connaissait absolument tout ou pensait toujours tout connaître. 

Lorsqu’elle voulait parler des autres, elle disait :

–       Ces gens-là… 

D’une manière rabaissante. Elle parlait très mal au personnel de maison. J’eus beau lui faire des remarques, rien ne changeait. Sa condition financière lui montait à la tête. 

J’avais très vite perdu la notion de famille. Ma femme faisait tout le contraire de ce que je voulais surtout en ce qui concerne l’éducation des enfants. Elle était dépensière pour des broutilles. Moi je venais d’une famille modeste et on nous avait appris à respecter le moindre sou. 

Justine pouvait dépenser sans compter et elle gâtait nos enfants. Tout ce qu’ils désiraient, elle les leur offrait même lorsque je n’étais pas d’accord. A un moment donné, les enfants la considéraient plus que moi leur père. Ils me trouvaient méchant simplement parce que je refusais de leur offrir 10 cadeaux pour noël et 20 pour le nouvel an. Mais à quoi cela servait de gâter autant de petits enfants ? Ils avaient toute une chambre de jouets qu’ils n’utilisaient même pas. 

Je sais que les hommes me comprendront, des fois vous rentrez et vous voyez étalés sur le lit 10 robes toutes neuves, vous imaginez que ça a dû couter énormément. Elle faisait ça tout le temps. De trois chambres salon, nous avions dû aménager dans une villa de six chambres coutant plus du double de ce que nous payions à la base en loyer pour avoir de la place. 

Notre niveau de vie était élevé et mon salaire y passait totalement. Lorsque j’en parlais, c’était des :

« Je n’ai pas besoin de ton argent pour faire plaisir à mes enfants… » ou encore, « je viens d’une famille aisée. J’ai ma richesse, j’en fais ce que je veux. Tu ne peux m’en vouloir de vouloir nous offrir une vie aisée… » ou, « rien ne t’empêche de changer de travail pour gagner plus encore… Je dépense parce que je gagne suffisamment, je ne peux m’en vouloir pour cela… ». 

Le plus dur, c’était ses parents qui trouvaient toujours que malgré tout ce que je faisais, qui j’étais devenu, je n’en faisais jamais assez pour leur fille. Ils la supportaient dans ses bêtises. 

Justine recevait très mal mes frères et sœurs, elle les traitait comme des parvenus, des arrivistes parce que leur frère que je suis subvenait à tous leurs besoins… Elle m’en voulait de soutenir ma propre famille et pourtant nos enfants ne manquaient de rien pour qu’on dise que je dépense sur ma famille au détriment de mes enfants. 

L’ambiance était devenue invivable à la maison. Je me retrouvai au milieu de trois entités, ma famille, sa famille et elle-même. 

Je commençai par  trainer tard au bureau, je ne rentrais que pour manger et aller au lit. Elle disait même aux enfants que je ne les aimais pas assez pour passer du temps avec eux. Mes propres enfants étaient entre ma femme et moi. 

Lorsque je changeai de poste, je ne l’en informai pas car si elle avait juste connaissance de mon augmentation de salaire, tout cet argent aurait servi à rien alors que je venais de contracter un prêt immobilier et avait lancé les travaux de construction de ma maison. 

Je précise qu’elle avait déjà son projet immobilier presque à terme. Aidée par ses parents, elle avait obtenu une villa au ¾ terminé et il ne lui restait que la finition à faire. Ma femme me narguait même avec sa maison.

 Elle disait :

« Moi je construis pour nos enfants, cette maison sera leur héritage… » une manière indirecte de me dire que je ne foutais absolument rien. 

Elle rapportait tout à sa famille. Elle parlait de tout ce qui nous concernait à ses parents. Elle n’avait aucun respect pour l’homme que j’étais. 

Ma maison en construction  était grande et d’une architecture très moderne. Elle m’avait coûtée plus de 200 millions, rien à voir avec sa petite villa dont elle se vantait tant. 

J’avais décidé de garder ce projet secret jusqu’à la finition pour ensuite l’y amener. 

Une petite précision, le loyer, la scolarité des enfants, les fêtes, la popote, l’électricité, l’eau, les deux chauffeurs, le gardien, tout était à ma charge… La seule chose dont elle s’occupait, c’était le salaire de la domestique. 

En réalité, ma femme ne dépensait son argent que pour ses enfants et elle. Je peux vous dire combien de fois elle m’avait offert des cadeaux… 

Petit-à-petit, j’avais pris de la distance. Je recherchais de la quiétude, la paix, je fuyais la maison, restais au bureau ou dans les bars avec des amis juste pour ne pas rentrer la supporter. 

C’est ainsi que je fis la connaissance de Sarah une jeune étudiante qui était à la recherche de stage. C’était un ami qui me l’avait recommandée pour que je l’aide. Sarah était tellement humble et respectueuse. Je lui avais trouvé ce stage et mieux un contrat à la clé. Nous étions devenus des amis. 

Elle vivait en famille et rêvait de se prendre un appartement. Je décidai de l’y aider et elle déménagea. Au départ, la main sur le cœur, j’aidais cette fille que je trouvais vraiment humble. J’aimais qu’elle soit souriante. Mais au fil du temps, cette fille devint mon refuge.

 Lorsque je quittais le bureau, j’allais diner chez elle, nous pouvions parler de tout et de rien et même des difficultés que j’avais dans mon couple. Sarah m’exhortait à la patience, elle me disait de ne jamais perdre de vue ce pourquoi j’avais épousé Justine, mais cette raison, l’amour, n’existait plus car ma femme m’avait trop humilié. 

J’avais développé pour Sarah une profonde amitié. Elle était au cœur de tout ce que j’entreprenais. J’avais même créé une société et l’avais nommée DG car j’avais confiance en elle, plus que ma femme. Je n’aurais même pas pu mettre un projet pareil en place avec ma femme. 

Lorsque j’étais en mission hors du pays, elle veillait sur les travaux de ma maison et me faisait le point. Tout était transparent avec cette fille. Tout était si simple avec elle et c’est au cours d’un voyage que je me rendis à l’évidence, je n’étais plus amoureux de ma femme mais de Sarah. 

En descendant de l’avion, je n’avais que deux choses en tête, appeler la maison pour prendre des nouvelles des enfants et appeler Sarah. Pas une seule minute je n’ai pensé à Justine. C’est tard dans la nuit que je m’en rendis compte et là je me rendis à l’évidence, les choses avaient changé… 

Je ne pensais à ma femme  que comme la mère de mes enfants. Elle n’était plus ma complice. Nous ne partagions plus rien. 

Mais jusqu’ici, je n’avais toujours rien envisagé comme relation avec Sarah, à part de l’amitié… Vous savez ce qui m’a fait avouer mes sentiments à  cette jeune fille ? De retour d’un voyage, je retrouvai ma maison vide d’homme. Il n’y avait que le personnel de maison. Point d’enfant, pas de femme. Ma femme avait juste déménagé avec mes enfants dans sa villa, sans ma permission. 

Lorsque je demandai le pourquoi, elle me balança :

–       Tu as besoin qu’on t’oblige à te réveiller. Je ne vais pas vivre en location avec mes enfants alors que j’ai ma maison…

Ouao… J’étais tombé sur mon derrière. C’était plus que je ne pouvais supporter alors je me rendis chez Sarah pour y trouver du réconfort.  Voilà une fille qui voyait tous mes efforts quotidiens pour rendre ma famille heureuse mais ma propre femme bien des années après, n’y voyait jamais rien de bon. 

Elle était partie chez elle sans même savoir que ma maison serait achevée en fin d’année…

Une fois chez Sarah et pour la première fois de ma vie d’homme, je coulai des larmes tellement l’humiliation et la douleur étaient vives (elle avait fait pareil en me voyant dans cet état…).

  Je me sentis inutile. J’avais réussi mais jamais je n’avais été fière de moi car jamais ma femme n’avait été fière de moi. Elle m’avait détruit, brisé… Elle m’avait rabaissé tant de fois. Là encore, qu’allait dire sa famille sur moi…

Je dormis chez mon amie, cette nuit et au milieu de la nuit, il arriva ce qui devait arriver. A la fin, Sarah me dit ;

–       Voilà c’est fait, tu as ce que tu voulais n’est-ce pas ? Coucher avec une jeune fille parce que tu as des problèmes avec ta femme. Maintenant que c’est fait tu peux rentrer les retrouver… Après tout, je ne suis que ça, un passe-temps, je suis jeune, belle, gentille, humble, tout le contraire de ta femme alors ça compense bien, tant que tu as besoin de compenser n’est-ce pas ? 

Elle se leva et se rendit dans la douche. Je la regardai s’en aller bouche ouverte. C’était blessant de l’entendre parler ainsi. Certes, je ne savais pas vraiment où j’en étais avec ma femme mais Sarah avait tellement d’importance dans ma vie. J’avais envie de la rendre heureuse et la voir ainsi était juste très touchant. 

Je me levai et la retrouvai dans la douche. Elle était en larmes devant le miroir… je la pris contre moi, elle se laissa faire…

–       Ce n’est pas ce que tu penses Sarah, tu ne dois ni penser ni parler ainsi. Tu es une fille extraordinaire, une vraie perle et je t’ai toujours protégée car tu le mérites. Oui cette nuit, c’est toi et moi et je ne sais pas encore de quoi demain sera fait, mais je ne suis pas un lâche. Jamais je ne te ferai de mal parce que, ce que je ressens pour toi est profond. Je ne sais pas, je n’ose pas dire que je suis amoureux de toi parce que j’ai juré fidélité à ma femme et me voici ici… Je n’arrive pas à me l’expliquer, je veux juste ne pas y penser pour le moment. Tout est vraiment difficile et sombre dans mon esprit. Tout ce que je sais, c’est que t’avoir dans ma vie est mon oxygène. Le reste,  laissons faire le temps. Sache juste que jamais je ne te ferai de mal. Jamais. 

J’eus le cœur brisé. 

Quelques jours après, je retournai à la maison et décidai de repenser ma vie autrement. Toutes ces années avec la même femme, jamais je n’avais trompé Justine, jamais. 

Je pouvais jurer sur la vie de nos enfants. J’avais toujours respecté ce serment  prêté devant le maire, mais  il était clair que c’était fini entre ma femme et moi depuis longtemps. Un mariage, sans amour, sans respect, sans considération. C’était toxique.

La semaine suivante, lorsque j’appelai comme toujours pour prendre des nouvelles des enfants, ma femme m’informa qu’elle organisait une fête d’inauguration de sa maison et que j’y étais convié… J’éclatai de rire et raccrochai tellement c’était ridicule. 

Savez-vous pourquoi je n’informais plus ma femme de mes projets ? Elle rapportait tout à sa famille et je devenais l’objet de risée de tous. Ils trouvaient un tel plaisir à rire et à dénigrer tout ce que je faisais et lorsque nous nous retrouvions tous ensemble, c’était le moment des moqueries. Ses frères et sœurs, ses parents, ils se trouvaient tellement plus intelligents que toute la terre qu’ils voyaient toujours le mal en tout. Je n’avais jamais été accepté par cette famille. 

Je continuai à entretenir ma relation avec Sarah, avec elle, tout était tellement simple et j’insistai pour rencontrer sa famille. Tout de suite je fus accueilli comme un prince malgré que je sois un homme marié. Ils n’avaient pas été hostiles à ma personne. Son père, paix à son âme,  était un homme très sage. J’allais le voir pour me ressourcer. Il me donnait des conseils sur la vie en général. Il me demandait de protéger et de respecter sa fille. C’était là tout son vœu et moi j’avais l’intention d’aller au-delà. 

Contre toute attente, je demandai le divorce. Je n’y allai pas par deux chemins. J’avais fait venir ma femme et le lui avais dit posément. 

–       Je veux divorcer, c’est mieux pour tous. Il y a longtemps que ce couple n’en est plus un et j’estime que chacun mérite d’avoir la paix. 

–       Tu veux quoi ? (Ricanant sauvagement…), tu veux divorcer. Et pourquoi ? Parce que j’essaie de faire de toi un homme ? Un vrai père de famille, un époux digne ? 

–       Tu vois, c’est exactement pour ceci que je veux divorcer. Pour ton manque de respect et de remise en cause, tes humiliations, ton manque d’humilité et de politesse. Tu as tellement changé Justine, tout a changé avec toi…

–       N’importe quoi… Tu ne te respectes pas toi-même, voilà pourquoi à 44 ans tu vis encore en location et est incapable d’économiser pour concrétiser. Tu n’es pas assez homme. Vas donc dehors voir, des hommes comme toi ont réalisé des choses. Toi tu es là, toujours à te plaindre et à te contenter du peu. Ce divorce sera le bienvenu… Tu me dégoutes. 

Je savais qu’en demandant le divorce, ma vie allait être un enfer dans la période. Toute sa famille s’acharna sur moi, des insultes par ci par là mais je gardai la tête froide et haute jusqu’au bout. Sarah avait culpabilisé. Elle me disait que c’était un peu de sa faute si je demandais le divorce mais en réalité, c’était grâce à elle que je trouvais la force de continuer à vivre. Je voulais vivre pour mes enfants et elle car ils étaient tout ce que j’avais de plus cher au monde. 

C’est vers la fin de la procédure j’aménageai dans ma maison au bord de la mer. C’était une superbe maison, tous mes amis en étaient amoureux. 

Vous n’imaginez pas, mais  nous avions choisi la séparation des biens, ironie, c’était Justine même qui l’avait imposé avec l’aide de sa famille car pour eux, je n’aurais pas eu de scrupules à m’accaparer ses biens à elle parce que je n’avais pas son niveau de richesse… 

Après le divorce, j’ai demandé la main de Sarah, j’ai tenu à lui offrir un mariage digne de ce nom car elle le méritait totalement. Je voulais la remercier d’être restée aussi bonne dans ma vie. 

J’ai épousé Sarah et à la mairie et à l’église et c’était la première et dernière fois que j’amenais une femme devant mon Dieu. 

Cette femme c’était Sarah. Avec elle, j’ai eu trois magnifiques enfants. Aujourd’hui j’ai cinq enfants et je lutte encore pour que mon ex-femme laisse mes ainés vivre en symbiose avec leurs demi-frères et sœur mais Justine fait tout pour éloigner mes enfants de nous ». 

Et vous, qu’auriez-vous fait ?

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